journée internationale de l’enfant
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Histoire
des droits de l’enfant
Le mot enfant nous vient du latin
« infans » qui signifie :
« celui qui ne parle pas. »
On voit déjà fidèlement se refléter
dans cette origine du mot une conception
bien particulière de l’enfant :
« soit sage et tais toi ! »
Ainsi les pères gaulois, avaient droit de vie
et de mort sur les enfants.
Les lois romaines autorisaient les hommes
à accepter ou refuser
un enfant à sa naissance.
Ce sont les philosophes du XVIIIe siècle qui
fondèrent notre réflexion actuelle de
l’éducation et l’épanouissement de chacun.
Arrive alors la Révolution Française avec
l’abolition des privilèges
(nuit du 4 août 1789)
et surtout l’adoption, le 26 août de la
Déclaration des droits de l’homme
et du citoyen.
En ce qui concerne les droits des enfants,
la Révolution laisse aussi une trace
indélébile.
Les relations parents/enfants évolue
et la mère y prend toute sa place.
En 1793 l’enseignement primaire devient obligatoire et gratuit.
Des reculs auront lieu et il faudra attendre
le XIXe siècle pour obtenir
de nouvelles conquêtes.
Ainsi les soulèvements de 1830
(les trois glorieuses),
de 1848 ou de 1871
(la Commune de Paris)
participent de ces nouvelles conquêtes.
Cette incessante bataille pour le droit
au bonheur se poursuit de nos jours.
Les luttes sont quotidiennes.
Depuis la discussion serrée qui va régler
un conflit entre un jeune et un adulte
jusqu’aux actions de tout un peuple
pour sortir de la famine : tout bouge !
C’est ainsi qu’une commission voit le
jour à l’ONU
(Organisation des Nations Unies) en 1978.
Elle va plancher sur une déclaration
solennelle concernant les droits de l’enfant.
Il faudra attendre 11 ans pour que la
convention internationale des droits
de l’enfant voit enfin le jour
le 20 novembre 1989 !
A ce jour 192 pays ont ratifié cette
Convention les obligeant ainsi à
mettre leurs lois en
conformité avec ce texte.
C’est la convention la plus ratifiée de toute l’histoire.
Il est intéressant de noter que les États Unis
ne l’avaient pas signée car elle interdit
la peine de mort pour les mineurs.
Les États Unis ont aboli la peine de mort
pour les mineurs en janvier 2005 mais,
à ce jour, n’ont toujours pas ratifié
la convention.
(d’après « Le grand livre des droits de l’enfant » de Alain SERRES –
Editions Rue du Monde)
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Janusz Korczak : le père des droits de l’enfant (source : site de l’association J. Korczak) |
Janusz Korczak était en Pologne,
avant la guerre, la personnalité scientifique
la plus en vue et la plus respectée dans le
domaine de l’enfance.
Ami des enfants, médecin-pédiatre
et écrivain, il est entré dans
l’Histoire le jour de sa déportation
au camp d’extermination de Treblinka,
avec les enfants du ghetto de Varsovie
qu’il n’avait pas voulu abandonner
(cf. le film de A. Wajda : Korczak, 1989).
« Le fait que Korczak ait volontairement
renoncé à sa vie pour ses convictions parle
pour la grandeur de l’homme.
Mais cela est sans importance comparé
à la force de son message »,
disait Bruno Bettelheim.
Depuis le début du siècle, Korczak œuvrait à
une refonte complète de l’éducation
et du statut de l’enfant, sur des bases
constitutionnelles entièrement nouvelles,
privilégiant la sauvegarde
et le respect absolu de l’Enfance.
Ses multiples écrits pour enfants et pour adultes
(Comment aimer un enfant,
Le roi Mathias 1er),
l’exemple de ses deux orphelinats modèles
organisés en républiques d’enfants
(« Dom Sierot » créée en 1912 et
« Nasz Dom » ; en 1919),
ses émissions de radio,
son journal national d’enfants
(« Maly Przeglad »)
ont fait la joie de générations entières
de petits polonais.
En artiste tout autant qu’en scientifique
et clinicien dévoué, il incarnait
une véritable pédagogie du respect,
une école de la démocratie et de la
participation qui font aujourd’hui
universellement référence.
Janusz Korczak lui-même est de plus
en plus étudié comme l’un des précurseurs
de la pédagogie institutionnelle et
de « l’autogestion pédagogique ».
Ce n’est pas le cas
(par méconnaissance sans doute…),
mais il pourrait tout aussi bien être
aussi reconnu comme un
« pédagogue autogestionnaire »,
aux côtés de
Paul Robin, Sébastien Faure et
Francisco Ferrer (1859-1908),
anarchiste espagnol qui reste le seul
pédagogue avec Korczak à avoir
été assassiné pour ses idées
(pour ce dernier, en les mettant en actes jusqu’au bout sans chercher à s’enfuir du ghetto de Varsovie).
Dans le domaine des droits de l’enfant,
il est aussi le précurseur reconnu
de la mise en pratique des droits
positifs de l’enfant
(droits d’expression, de participation, d’association, etc.)
officiellement établis le 20 novembre 1989
par les articles 12 à 17
de la Convention des Nations Unies
pour les droits de l’enfant,
un texte et un acte politique majeur
dont il exigeait l’élaboration depuis
la fin du XIXe siècle.
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Les principales dates : |
1679 : l’Habeas corpus
(ton corps t’appartient),
voté par le Parlement anglais, il protège
l’individu contre les arrêts arbitraires.
1776 : L’ Indépendance des États Unis.
Dans cette proclamation de l’indépendance,
une première déclaration des
droits de l’homme est ébauchée.
1789 : En France :
La Révolution Française.
La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen
proclame dans son article premier que
« tous les hommes naissent et demeurent
libres et égaux en droits« .
Les cahiers de doléances, préparés par le
tiers-état, appellent un plan d’éducation
national destiné à toutes les classes de la
société, et demandent la création
d’établissements pour les enfants
abandonnés et vagabonds
1792 : En France :
Le marquis de Condorcet
(Philosophe, mathématicien
et homme politique français,
Jean-Antoine-Nicolas Caritat,
marquis de Condorcet : 1743-1794)
présente un plan d’instruction publique
car la pauvreté des familles les pousse
d’avantage à faire travailler les enfants
qu’à les envoyer à l’école.
1793 : En France :
Constitution de l’an I de la République.
Une nouvelle Déclaration élargit la notion
de droit à l’instruction, à l’assistance, etc….
Création d’un premier code civil qui affirme
les devoirs des parents envers leurs enfants :
« surveillance et protection« .
1795 : En France :
La loi Lakanal
(homme politique français.
Joseph Lakanal : 1762-1845)
institue une école pour 1000 habitants.
Ainsi naît officiellement l’école laïque.
1813 : En France :
Un décret interdit de faire descendre
dans les mines les enfants de
moins de 10 ans.
1833 : En France :
La loi Guizot
(Historien et homme politique français.
François Guizot : 1787-1874)
instaure une école supérieure pour
6 000 habitants.
1841 : En France :
Une loi défend l’embauche des enfants
de moins de 8 ans dans les fabriques
dont l’effectif est supérieur à 20 ouvriers.
1850 et 1867 : En France :
La loi Falloux
(Ministre de l’instruction publique en 1849.
Alfred Frédéric comte de Falloux : 1811-1886)
établit l’obligation d’ouvrir une école
de filles dans les communes
de plus de 500 habitants.
Bien que réaménagée cette loi est
toujours en vigueur aujourd’hui.
1874 : En France :
Une loi réduit la durée du travail
des femmes et des enfants.
Les ateliers de manufacture ne peuvent
embaucher d’enfants de moins de 12 ans.
La journée de travail des enfants
de 10/12 ans ne peut dépasser 6 heures
et 12 heures pour les enfants
de plus de 12 ans.
1882 : En France :
La loi Ferry
(Avocat, maire de Paris et homme d’État.
Jules Ferry : 1832-1893)
organise l’enseignement primaire
obligatoire laïc et gratuit
pour les enfants de 6 à 13 ans.
1898 : En France :
Une loi institue la répression des violences,
des voies de fait, actes de cruautés
et atteintes commis envers les enfants.
1900 : En France :
La durée maximum de travail des adultes
et des enfants passe à 10 heures par jour.
1905 : En France :
Une loi autorise l’enfant qui travaille
à saisir les juges de paix en ce qui
concerne ses conditions de travail.
1912 : Institution des tribunaux
pour enfants et création de la
Société des Nations (SDN)
1913 : Création de l’association
internationale pour la protection
de l’enfance
1919 : Création par la Société des Nations,
à Genève, du Comité de protection
de l’enfance
1923 : Madame Eglantyne Jebbs
rédige une déclaration des droits de l’enfant (Children’s Charter)
qui devient la charte fondamentale
de l’Union Internationale de secours de l’enfant (UISE)
dont elle est fondatrice.
La Charte, adoptée le 23 mai 1923
par le comité directeur de l’UISE,
proclame en cinq points les principes
de base de la protection de l’enfance.
Elle sert de base à la rédaction de la
déclaration de Genève.
1924 : La Déclaration de Genève.
Première tentative de codifier les droits
fondamentaux des enfants par l’Union
Internationale de secours aux enfants (UISE).
1936 : En France :
scolarité obligatoire jusqu’à 14 ans.
1945 : Création des Nations Unies (ONU).
Signature de la Charte des Nations Unies
1945 : En France :
ordonnance de 1945
relative à l’enfance délinquante.
1946 : Création de l’UNESCO
(United Nations Educational, Scientific et Culturel Organisation :
organisation des Nations Unies pour l’éducation, les sciences et la culture)
et
de l’UNICEF
(United Nations Children’s Fund :
Fond des Nations Unies pour l’Enfance).
1946 : En France :
rédaction du préambule de la
Constitution française.
1948 :
Déclaration universelle des droits de l’homme,
adoptée par l’Assemblée Générale
de l’ONU réunie à Paris.
1958 : En France : Constitution Française
1959 : Charte des droits de l’enfant.
Texte en dix points adopté
à l’unanimité par l’ONU.
En France : Scolarité obligatoire
jusqu’à 16 ans.
1966 : Deux pactes liant les pays ayant ratifié
la déclaration universelle des droits de
l’homme affirment la protection des enfants
contre l’exploitation économique
et en cas de dissolution
du mariage des parents.
Une mention spéciale est faite quand à la
manière de traiter les jeunes détenus.
Il s’agit du pacte international relatif aux
droits civils et politiques et
du pacte international relatif
aux droits économiques,
sociaux et culturels.
1973 : La conférence internationale
du travail adopte la convention
qui fixe l’âge du travail à 15 ans révolus.
Elle entre en vigueur en France en 1976.
1974 : En France : La majorité est abaissée à
l’âge de 18 ans.
1978 : La Pologne propose aux Nations Unies
un projet de convention relative
aux droits des enfants.
La démarche du gouvernement polonais
tient compte d’une double préoccupation :
la situation dramatique des enfants
dans ce pays au lendemain
de la seconde guerre mondiale et la
reconnaissance du
Docteur Janusz Korcazck
qui fut le premier, dans les années 1920,
à affirmer les droits spécifiques
des enfants et à réclamer pour eux,
auprès de la société des Nations,
une charte énonçant ces droits.
1979 : Année internationale de l’enfance.
Mise en chantier de la Convention
Internationale des Droits de l’Enfant
à l’initiative de la mission permanente
de la république populaire de Pologne.
Cette mission est présidée par le polonais Adam Lopatka.
1983 : Plusieurs organisations non
gouvernementales (ONG)
se regroupent pour contribuer aux travaux
du groupe de travail de l’ONU.
Un secrétariat permanent est installé à
Genève, assuré par
Défense des Enfants Internationale (DEI)
1989 : Adoption à l’ONU de la
Convention Internationale
des droits de l’enfant.
Elle comporte 54 articles.
Son préambule insiste sur la nécessité
d’accorder une protection spéciale à l’enfant.
1990 : Premier sommet mondial pour
l’enfance au siège de l’ONU
(en présence de 71 chefs d’ États et de Gouvernements et de 88 représentants d’autres pays).
Il y est adoptée une déclaration mondiale
en faveur de la survie,
de la protection et du
développement de l’enfant.
1990 : Déclaration Mondiale
sur l’Éducation pour tous à Jomtiem
(Thaïlande) par 155 pays représentés.
1995 : Le Parlement Français décide de faire
du 20 novembre la
« Journée nationale de défense et de promotion des droits de l’Enfant« .
1999 : 10ème anniversaire de la
Convention Internationale
relative aux droits de l’enfant.
2000 : la Journée nationale de défense des
droits de l’enfant devient
journée européenne puis
journée internationale.
2003 : Le 12 juin est déclaré
« Journée mondiale contre le travail des enfants » par l’ONU.
et aprés ce long article qui je l’espère
ne vous aura pas trop lassé,
voilà ma création pour Babouchka
Une recette magique
Bonne grosse Soupe d’amour
Recette
Préparer une grande casserole,
Couper les mots de colère,garder ceux qui sont adoucissants,équilibrants et apaisants,
Brosser, peler et laver l’égoisme,
Hacher les conflits et la froideur,
Enlever la peau de la contrariété et
celle des ressentiments avant cuisson,
Rejeter le mauvais, annuler le négatif,
Combiner le respect et la courtoisie,
Ajouter une très grosse canne d’affections,
Une bouteille pleine de délicatesses,
Mesurer un gros contenant plein de bon sens,
Mettre le bouillon de la politesse bien dégraissé de l’inattention,
Un cube d’accessibilité,
Mêler la bonne attitude, la vitalité, l’enthousiasme,
Mettre un bouquet garni de paroles aimables,
Parsemer de poudre de disponibilité,
Saupoudrer de beaucoup, beaucoup d’amour,
accompagné d’une voix douce,
Ne pas mettre trop de reproches, attention,
L’ ajout de la cordialité donne un très bon petit goût,
On peut varier avec la convivialité,
Certains préfèrent avec un soupçon d’étreintes,
Remuer délicatement,
Épaissir pour lui donner la texture veloutée de la tendresse,
Incorporer petit à petit l’humour,
Encore meilleure si on a préalablement prévu la bienveillance.
À feu doux, et porter à ébullition l’émerveillement,
Réduire le feu des arrières-pensées,
Laisser mijoter le don de soi et les p’tits bonheurs,
Poursuivre la cuisson dans une ambiance sereine et chaleureuse.
Un parfum agréable de compréhension se propagera
dans toute la maisonnée.
Varier les saveurs.
Et sortez votre plus belle soupière !
Une soupe exquise, saine, équilibrée, bonne à se délecter,
chaude et très réconfortante.
Une recette appétissante, nourrissante et adaptable à toute la famille.
On peut l’accompagner de biscuits
de gestes sympathiques
ou de croûtons de finesses, et d’un filet de bon accueil.
Déguster le plaisir de vous sentir rassasié.
Très bon choix lorsqu’on reçoit de la visite à souper.
Un régal !
À la soupe !!!
l’histoire du vélo et créa defi chez babouchka
L’origine du vélo
Le 12 juillet 1817, un allemand de 32 ans,
le baron Drais assis à califourchon sur une poutre en bois
reliant deux roues parcourt avec sa machine
14,4 km en une heure par action de ses pieds sur le sol.
Cette machine appelée communément en France draisienne
est brevetée en 1818 sous le nom de « vélocipède »
puisque son but est « de faire marcher une personne
avec une grande vitesse » (véloce = rapide, pède = pied).
Son succès fut éphémère.
Le vélocipède ne retrouva les faveurs du public
que le jour où les inventeurs comme Michaux
le dotèrent de pédales.
Le premier vélocipède à pédales
Paris, mars 1861 :
un chapelier apporte à Pierre Michaux, serrurier,
une draisienne à la roue avant défaillante pour réparation.
L’un de ses fils Ernest l’essaye et se plaint du désagrément
qu’il éprouve une fois lancé pour garder les jambes levées.
Pierre suggère alors de poser des repose-pieds,
ou plutôt
« un axe coudé dans le moyeu de la roue »
qui le fera « tourner comme une meule ».
Ainsi une invention simple mais primordiale vit le jour :
la pédale.
Michaux
Le grand bi
On cherche alors à rendre le vélocipède plus rapide.
Comme les pédales étaient fixées de part et d’autre
du moyeu de la roue avant, il fallait augmenter le diamètre
de cette roue motrice pour accroître la distance parcourue
à chaque coup de pédale.
Alors le diamètre de la roue avant ne cessera d’augmenter
tandis que celui de la roue arrière diminuait son rôle se
limitant à permettre l’équilibre de l’ensemble.
Ainsi naquit le grand bi dans les années 1870.
Puis le grand bi en bois fut remplacé par le grand bi en acier.
Vers 1875, le français Jules Truffault allégea jantes et
fourches en les fabricant creuses à partir d’un stock
déclassé de fourreaux de sabre
et construisit une machine en remplaçant
les lourds rayons en bois par
des rayons métalliques en tension.
En 1881, le grand bi atteint presque la perfection
et pèse pour les modèles de course 10 à 11 kilogrammes !
Cependant, l’hypertrophie de la roue avant
(on arrivera à des roues de 3 mètres de diamètre !)
pose des problèmes de sécurité.
Que les premiers spécimens, voulant échapper
à la logique équilibriste des grands bi se soient appelés
safety ou bicycle de sûreté confirme à quel point
la hantise des chutes imposait le besoin d’engins
plus proche du sol.
La bicyclette plus proche de celle que nous connaissons
aujourd’hui n’avait plus qu’à prendre son envol :
L’invention de la chaîne
La bicyclette telle que nous la connaissons,
avec ses roues de diamètres égales
et sa traction par chaîne apparut
aux début des années 1880.
Cependant, elle se différenciait de nos vélo actuels
de par son cadre en croix.
Bicyclette de 1888 à cadre en croix et transmission par chaîne
Le premier cadre « actuel«
A partir des années 1890, la figure géométrique en
triangulation des cadres s’imposa :
le vélo d’antan ressemblait alors énormément
au nôtre mais ressemblait seulement.
Un grand nombre d’évolutions discrètes mais majeures
devaient encore voir le jour :
la roue libre, le pneumatique démontable,
le changement de vitesse..
Bicyclette de 1890 à cadre classique et transmission par chaîne
L’avènement du pneumatique
En 1891, Charles Terront est vainqueur
de la première grande course classique
Paris Brest Paris sans étape
. Il s’impose sur une bicyclette montée
avec des prototypes Michelin :
les premiers pneumatiques démontables.
Mais la véritable révolution avait déjà eu lieu,
quelques années auparavant en 1888,
quand le vétérinaire écossais Dunlop avait réinventé
le « tube creux de caoutchouc gonflé d’air »
à la place d’un bandage plein jusqu’alors en vigueur.
( Le pneumatique avait en fait déjà été préconisé en vain par Thomson, en 1845, pour les roues des voitures à chevaux.)
Bicyclette de 1891 utilisée pour la classique Paris Brest Paris
encore des évolutions
La chaîne en question…
Un système de transmission sans chaîne mais par cardan
(dit acatène) se substitua à la chaîne
à la fin du 20ème siècle.
Ce système eut son heure de gloire dans les courses
de longue distance de 1896 à 1898.
Très complexe, relativement lourd et ne permettant pas
aisément un changement de vitesse,
ce système disparut pour laisser place de nouveau
à la transmission par chaîne.
Vélo à transmission par cardan
Les premiers changements de vitesse
Dès l’exposition internationale de vélocipèdes de 1869,
certains vélocipèdes comportaient déjà des systèmes
imaginés pour des changements de vitesse.
A partir des années 1900 les premières bicyclettes avec
changements de vitesse furent commercialisées.
Paul de Vivie désireux que la bicyclette
soit le plus commode possible pour les cyclotouristes
, mettra au banc d’essai de multiples machines à
changements de vitesse
(avec bichaîne, chaîne flottante…).
Il s’intéressera à toutes des expériences faites
en ce domaine et se battra pour la
« polymultication » ou changements de vitesse.
En 1913 à lieu à Chanteloup
la course de la Polymultipliée
où les coureurs expérimentent divers systèmes de changements de vitesse.
Vélo avec boîte de vitesse dans le pédalier
Vélo à deux chaînes, 3 vitesses dont 2 par rétropédalage
Vélo 6 vitesses = 3 dans le moyeu + 2 chaînes
Le dérailleur
1911 : pour la première fois, le Tour de France franchit les
cols des Alpes et à cette occasion,
le Stéphanois Panel expérimente un changement
de vitesse par dérailleur.
Celui-ci, inventé quelques années auparavant,
fut ensuite interdit par
Henri Desgrange sur le Tour jusqu’à 1937.
En 1923, Juy lança le dérailleur Simplex.
Le dérailleur à baguette vit le jour en 1933
grâce aux travaux de Campagnolo.
Vélo « Le Chemineau » à dérailleur utilisé par Panel lors du Tour 1911
Le vélo pliant : Une lourde parenthèse
L’idée de diminuer l’encombrement du vélo
pour mieux le transporter est apparu très tôt :
en 1878 fut lancé en Angleterre un tricycle pliant.
En 1895 la bicyclette du capitaine Gérard
conçue pour l’armée recueillie un certain succès.
Ainsi lors des deux guerres mondiales,
ces vélos alourdirent le paquetage des soldats.
Vélo pliant utilisé par l’armée française pendant la guerre 14-18
Vélo pliant utilisé par les parachutistes anglais lors du débarquement en Normandie en 1944
Cette histoire est loin d’être terminée et continue aujourd’hui de plus belle…
mais je vous ai certainement assez ennuyés avec
toute cette histoire …….
je me suis emballée et j’ai pédalé sans m’arrêter
heureusement que ma chaine a deraillé
( quoi ? qui a dit qu’il n’y avait pas que la chaine ? ) rires
et maintenant ……………….
ma créa
» Journée du vélo «
chez Babouchka
Fête des Mères ……… depuis Vercingetorix
Partout dans le monde,
il y a des mamans et des enfants.
Des mamans actives,
des mamans câlines,
des mamans rigolotes,
des mamans-poules
ou tout simplement une maman…
elles ont toutes un point commun :
elles sont indispensables !
Pour les remercier, il est normal
de leur consacrer chaque année
au moins une journée !
Ainsi , nous les remercions de l’attention,
de la protection et de l’amour
qu’elles nous donnent.
Cette tradition n’est pas vieille comme le
monde mais perdure depuis un certain
nombre de siècles.
La fête des mères au temps des Gaulois
La fête des mères remonte
au temps d’Astérix,
c’est une tradition très ancienne !
Les premiers à avoir instauré une journée
consacrée aux mamans sont
les Grecs et les Romains,
qui organisaient chaque année
au printemps une cérémonie
en l’honneur de Rhéa et Cybèle,
les divinités mères des Dieux.
La fête des mères que l’on connaît
La version moderne de la fête des mères
nous vient directement des Etats-Unis.
Le second dimanche du mois de mai 1907,
au moment du décès de sa maman, une
américaine a demandé aux autorités
d’instaurer une journée en l’honneur de
toutes les mamans du monde
le deuxième dimanche de mai.
Vœu exaucé !
Les petits américains honorent leur maman
le deuxième dimanche de mai
depuis plus de 100 ans.
La fête des mamans françaises
Célébrer les mamans
et plus généralement la famille,
est une idée de Napoléon.
C’est le premier qui a évoqué l’idée
d’une fête des mères officielle
au printemps en 1806.
Au départ, le but était d’honorer
les mères de familles nombreuses.
Il faut cependant attendre le 20 avril 1926,
pour que la première
« journée des mères » nationale ait lieu.
Il s’agissait alors d’honorer les mères de
familles nombreuses, avec remise de
« Médailles de la Famille française ».
Elle n’a jamais eu grand succès
jusqu’en 1941, moment,
où le Maréchal Pétain
institue la fête des mères
pour repeupler la
France qui souffre de
la seconde guerremondiale.
Pour Pétain, la famille est une valeur
essentielle pour la France.
Il a souhaité officialiser cette fête
pour attirer l’attention sur le rôle de la
femme au foyer.
Son discours est réputé pour
la polémique qu’il a entraînée.
Certains lui ont reproché sa vision de
« femme-objet ».
La grande « invention » de Vichy, ce fut
d’honorer toutes les mères,
d’en faire une fête familiale
et d’en laisser la prise en charge
aux enfants eux-mêmes, tout en faisant
encadrer ces activités par les maîtres d’école.
Bref, le collier de nouilles,
c’est depuis Pétain !
En 1950, cette fête très populaire est
officiellement fixée au
4ème dimanche de mai.
Si ce dernier est le dimanche de Pentecôte,
la fête des mères est reportée
au premier dimanche de juin.
Je vous souhaite à toutes
Quand on se compare, on se console
Quant on se compare on se console:
Avec cette crise, tout le monde souffre
Les problèmes des boulangers
sont croissants
Alors que les bouchers veulent
défendre leur steak
Les éleveurs de volaillles se font plumer
Et en ont assez d’être les dindons de la farce
Les éleveurs de chiens sont aux abois
Les pêcheurs haussent le ton
Et bien sur, les éleveurs de porcs
sont dans la marde
Les céréaliculteurs sont sur la paille
Alors que les brasseurs sont sous pression
Les viticulteurs trinquent
Heureusement, les électriciens résistent
Mais pour les couvreurs, c’est la tuile
Certains plombiers en ont ras-le-bol
Et les autres prennent la fuite
Chez GM les salariés débrayent
Et la direction fait marche arrière
À l’ Hydro les syndicats sont sous-tension
Mais Vandal ne semble pas au courant
Les cheminots voulaient garder
leur train de vie
Mais la crise est arrivée sans crier gare
Les veilleurs de nuit vivent au jour le jour
Et les carilloneurs ont le bourdon
Les ambulanciers ruent dans les brancards
Pendant que les pédicures
travaillent d’arrache-pied
Les croupiers jouent le tout pour le tout
Les cordonniers sont mis à pied
Les dessinateurs font grise mine
Les exterminateurs ont le cafard
Des militaires partent en retraite
Et les policiers se sont arrêtés
Les imprimeurs dépriment
Les météorologues aussi
sont en dépression
Les pendus sont sur la corde raide
Les prostituées se retrouvent sur le trottoir
C’est vraiment une mauvaise passe….
et
une enfant sage ……….
Beaucoup d’entre vous connaissent la
correspondance de la Marquise de Sévigné
avec sa fille notamment,
mais connaissez-vous la correspondance
de la fille à la mère ?
Dans le courrier ci-dessous, que la fille
adresse à sa Maman, elle lui parle de ses
activités récréatives en termes tout à fait
naïfs, frais et charmants !
Jugez plutôt…
Ah ! Vous dirais-je Maman
A quoi nous passons le temps
Avec mon cousin Eugène ?
Sachez que ce phénomène
Nous a inventé un jeu auquel
Nous jouons tous les deux.
Il m’emmène dans le bois
et me dit : « déshabille-toi » .
Quand je suis nue tout entière,
Il me fait coucher par Terre,
Et de peur que je n’aie froid
il vient se coucher sur moi.
Puis il me dit d’un ton doux :
« Écarte bien tes genoux »
Et la chose va vous faire rire.
Il embrasse ma tirelire !
Oh ! vous conviendrez,
Maman, qu’il a des idées vraiment….
Puis il sort, je ne sais d’où,
Un petit animal très doux.
Une espèce de rat sans pattes
Qu’il me donne et que je flatte.
Oh ! le joli petit rat !
D’ailleurs il vous le montrera.
Et c’est juste à ce moment
Que le jeu commence vraiment.
Eugène prend sa petite bête
Et la fourre dans une cachette
Qu’il a trouvée, le farceur,
Où vous situez mon honneur. ..
Mais ce petit rat curieux,
Très souvent devient furieux.
Voilà qu’il sort et qu’il rentre,
Et qu’il me court dans le ventre.
Mon cousin a bien du mal
A calmer son animal.
Complètement essoufflé,
Il essaye de le rattraper.
Moi je ris à perdre haleine
Devant les efforts d’Eugène.
Si vous étiez là Maman,
Vous ririez pareillement.
Au bout de quelques instants
Le petit rat sort en pleurant.
Alors Eugène qui tremblote
Le remet dans sa redingote.
Et puis tous deux nous rentrons
Sagement à la maison.
Mon cousin est merveilleux
Il connaît des tas de jeux.
Demain soir sur la carpette
Il doit m’apprendre la levrette.
Si vraiment c’est amusant,
Je vous l’apprendrai en rentrant.
Voici ma chère Maman
Comment je passe mon temps.
Vous voyez je suis très sage.
Je fuis tous les bavardages.
J’écoute vos leçons
Je ne parle pas aux garçons !
Allez , je me sauve , avant
d’entendre vos
ohhhhh
désapprobateurs rires
crea defi » Afrique » chez Babouchka
et une tchotte blague pour blablater
un tcho mollé …………..
Un motard, pressé de retrouver sa fiancée se fait arrêter par un flic.
Le motard lui explique qu’il veut demander sa copine en mariage
mais il rajoute quelques mensonges.
Le flic, pris de pitié lui dit:
– Ok, je vais vous poser une petite devinette,si vous répondez bien, je vous laisse partir.
Le motard accepte.
Flic:
quel est l’engin ayant 4 roues et un volant ?
Motard:
une voiture !!Et maintenant, je peux y aller?
Flic :
ah non désolé, il fallait préciser : Peugeot, citoen, etc…
Motard :
Reposez-en-moi une autre !!
Flic :
ok, quel engin a 2 roues et un guidon
Motard:
une moto!!
Flic:
Ah non vous n’avez toujours pas préciser : Yamaha etc…
Sur les nerfs, le motard lui dit:
– A mon tour de vous faire une devinette :
C’est quoi une jeune fille, en mini jupe qui attend sur le trottoir ?
Flic: ben…une pute
Motard :
oui mais faut préciser : ta sœur, ta mère, etc…
Comment donner des comprimés à votre chat
Voici quelques conseils qui pourraient
peut être vous être utiles! lol
1. Attrapez votre chat fermement.
Couchez-le dans votre bras comme si vous
vous apprêtiez à donner
un biberon à un bébé.
Bercez-le en murmurant :
« C’est un gentil minou ça ».
Et laissez tomber le comprimé
dans sa gueule.
2. Allez chercher le chat qui s’est planqué au
dessus de l’abat-jour
et le comprimé qui est tombé sous le canapé.
3. Suivez la même procédure qu’en 1,
mais tenez les pattes avant du chat
de la main gauche et les pattes arrières
dans la pliure de votre coude droit.
Enfournez le comprimé dans
sa gueule avec un doigt.
4. Allez rechercher le chat sous le lit.
Prenez un nouveau comprimé dans la boîte.
Ne succombez pas à la tentation
de prendre un nouveau chat aussi.
5. À nouveau, suivez la procédure indiquée
en 1, sauf que lorsque vous tenez le chat
comme pour un bébé qui va prendre le
biberon, pensez à vous asseoir
et à pencher votre buste sur le chat,
ouvrez la gueule du chat en soulevant
la mâchoire supérieure et
lâchez le comprimé vite fait.
Malheureusement, votre tête est placée
très bas et vous ne verrez pas forcément
très bien ce que vous êtes en train de faire.
C’est aussi bien…
6. Laissez le chat agrippé aux rideaux.
Laissez le comprimé collé dans vos cheveux.
7. Si vous êtes une femme,
pleurez un bon coup.
Si vous êtes un homme,
réfrénez vos instincts meurtriers.
8. Maintenant, remettez-vous à la tâche.
Après tout, qui est le patron ici ?
Allez rechercher le chat !
Et prenez le comprimé.
Reprenez la position indiquée en 1
et dites d’un ton autoritaire :
« C’est moi qui commande :
tu vas prendre ce comprimé !! »
Ouvrez la gueule du chat,
prenez le comprimé et… Oups !
9. Ca marche pas hein ?
Affalez-vous sur une chaise et réfléchissez.
Aha ! Mais oui, ce sont ces p… de griffes
qui empêchent tout déblocage
de la situation.
10. Rampez jusqu’à la salle de bains.
Prenez une grande serviette de plage.
Étalez la serviette sur le sol.
11. Allez rechercher le chat sur les étagères
de la cuisine et le comprimé
dans la plante verte.
12. Couchez le chat sur la serviette
avec la tête près du bord.
13. Prenez les pattes avant et
les pattes arrières du chat et
collez-les contre son ventre
(ne cédez pas à vos pulsions
de l’aplatir totalement).
14. Enveloppez le chat dans la serviette.
Faites vite.
15. Reprenez la position 1.
Enveloppez l’arrière de la tête du chat
entre votre pouce et votre index gauche
(si vous êtes droitier).
Avec l’extrémité du pouce et de l’index,
exercez une pression sur la commissure
des mâchoires supérieures et inférieures :
la gueule du chat va s’ouvrir.
16. Laissez tomber le comprimé au fond
de la gueule et frottez la gorge
pour qu’il avale.
C’est tout.
17. Passez l’aspirateur pour récupérer les
poils (du chat) tombés par terre.
Nettoyez les plaies (les vôtres)
et posez les pansements.
18. Prenez deux aspirines
et allez vous coucher.
descente aux enfers accélérée…
C’est bien : Elle dit oui.
C’est mal : Elle dit non.
C’est pire : Elle dit peut-être…
C’est mal : Votre femme vous plaque…
C’est pire : …pour une autre femme
C’est mal : Votre fils donne dans le satanisme…
C’est pire : …comme victime.
C’est mal : Votre mari est travesti.
C’est pire : Il est plus belle que vous.
C’est mal : Vous trouvez un film porno dans la chambre de votre fils.
C’est pire : Vous en êtes l’acteur principal.
C’est mal : Votre oncle d’Amérique vous lègue une immense fortune.
C’est pire : Il a oublié de dater le testament qui n’est donc pas valable.
C’est mal : Vos enfants de 12 et 13 ans ont débuté une vie sexuelle agitée…
C’est pire : …entre eux.
C’est mal : Vous appelez SOS Suicide.
C’est pire : Ils vous font patienter avec du Vivaldi.
C’est mal : Votre femme veut divorcer.
C’est pire : Elle est avocate.
C’est bien : Une petite virée chez les filles de mauvaise vie.
C’est mal : Lors d’une descente de flics, vous êtes arrêté.
C’est pire : …par votre femme qui est commissaire.
C’est mal : Votre disque dur se crashe.
C’est pire : La dernière sauvegarde remonte à plus d’un an.
C’est bien : Le postier est en avance.
C’est mal : Il a l’air mauvais et un AK-47 en main.
C’est bien: Je suis tranquillement à la maison cette après-midi.
C’est mal : Parce que j’ai séché l’école.
C’est pire : Pour regarder les Feux de l’Amour…
C’est bien : La secrétaire vous a dit oui.
C’est mal : Votre femme vous dit non.
C’est mal : Interro surprise de maths.
C’est pire : Le prof inscrit le numéro de SOS Suicide au tableau.
C’est bien: Petit rendez-vous en aveugle (« blind date »)
C’est mal : C’est votre ex-femme.
C’est pire : C’est votre femme.
C’est bien : L’instit adore votre fils.
C’est mal : … charnellement.
C’est pire : Il est homo.
C’est bien : Ma copine a trouvé un nouveau boulot.
C’est mal : Il est pas dans la même ville.
C’est pire : Même pas dans le même pays.
C’est bien : J’ai trouvé un nouveau boulot.
C’est mal : Il est géographiquement à l’opposé de celui de ma copine.
C’est pire : Elle en profite pour me quitter.
C’est bien : Vous revenez plus tôt que prévu du travail et avez envie d’un gros câlin avec votre femme.
C’est mal : Le postier aussi et il était là avant.
C’est bien : Week-end de trois jours vendredi-dimanche.
C’est mal : Vous n’avez que le vol du vendredi soir.
C’est bien : Petite soirée dans une boîte à strip-tease.
C’est mal : Votre fille mène la revue.
C’est bien : Votre boyfriend fait du sport et un régime.
C’est mal : Il veut réussir à entrer dans vos robes.
C’est bien : Votre voisine fait son sport dans sa chambre, nue, la fenêtre grande ouverte, et vous avez un très bon angle.
C’est mal : Elle fait 150 kilos.
C’est bien : Votre jeune fils se fait de l’argent de poche avec des petits boulots.
C’est mal : …au sex-shop du coin.
C’est bien : Votre oncle vous lègue une immense fortune.
C’est mal : Et encore plus de dettes.
C’est mal : Votre femme est arrêtée pour racolage.
C’est pire : Elle vous dénonce comme son souteneur.
C’est mal : Accident de voiture.
C’est pire : C’était une voiture de flics.
C’est bien : Je fais la vaisselle.
C’est mal : Je casse un verre
C’est pire : Je me coupe jusqu’au tendon.
C’est bien : J’ai des messages sur l’e-mail.
C’est mal : Je n’ai pas de messages.
C’est pire : J’ai 346 messages !!!
C’est bien : Je me suis brossé les dents
C’est mal : Quelqu’un d’autre a utilisé ma brosse à dents
C’est pire : Pour laver la cuvette des toilettes !
C’est bien : J’ai aidé une mémé à traverser la rue
C’est mal : Elle s’est faite renverser.
C’est pire : Elle dit que je l’ai poussé !
C’est mal : J’ai pris du poids.
C’est pire : La balance n’arrive plus à l’afficher.
C’est bien : J’ai eu une bonne note en Maths.
C’est mal : Le cancre de la classe a eu la même
C’est pire : Le prof m’accuse d’avoir copié sur lui !
C’est bien : Je suis allé voir un psy.
C’est mal : Il dit que je suis normal.
C’est pire : Il s’est fait interner !
C’est bien : Le PSG a enfin gagné un match.
C’est mal : Ils ont payé les joueurs de l’équipe adverse.
C’est pire : C’était une équipe de Division d’honneur !
C’est bien : J’ai acheté une voiture neuve.
C’est mal : Je l’ai cartonnée.
C’est pire : En sortant de chez le concessionnaire …
C’est bien : Je m’suis réveillé tôt pour pas être en retard au boulot.
C’est mal : J’ai dû prendre une douche froide tellement j’étais déchiré.
C’est pire : Je m’suis aperçu qu’on était dimanche matin !
C’est bien : Je veux devenir coiffeur.
C’est mal : Mon premier client n’est pas très satisfait.
C’est pire: Il reste du sang sur les ciseaux !
C’est bien : Je suis allé faire des U.V.
C’est mal : Je suis resté plus longtemps que le maximum conseillé
C’est pire : …dans une cabine spéciale « peaux foncées » !
C’est bien : J’ai branché mon nouvel ordinateur.
C’est mal : Sans lire la notice.
C’est pire : Il commence à fumer !
C’est bien, j’ai fait une archive compressée « .zip » de mes documents.
C’est mal, j’ai effacé mes documents par mégarde.
C’est pire, l’archive « .zip » fait 0 octets !
C’est bien : J’ai acheté au voisin un nouveau jeu pour 90 €.
C’est mal : C’est une copie gravée du CD original.
C’est pire : Sans le livre des codes de protection !
Le rêve : Tous les hommes sont des Chippendales et toutes les femmes des Pamela Anderson (avec un peu d’intelligence en plus).
La réalité : Tous les hommes sont réduits à appater des « Thons » avec leur seul atout : leur carte de crédit !!!
Le rêve : Que les filles soient tellement bêtes que les machos puissent en profiter.
La réalité : Les filles sont tellement bêtes que les machos en profitent
en voilà un qui est bien integré ….dans le systhème social lol
« Abdhul Ben Kakahuett »
écrit à son frère » Ben A Baskul » .
Salam Abdhul !
Par la grâce d’Allah tout-puissant
et miséricordieux,
nous sommes en passe d’être bientôt
les maîtres de la France
. Je me demande donc
pourquoi tu
hésites à venir nous rejoindre ici.
Dès ton arrivée tu pourras te faire
inscrire à l’immigration
Comme travailleur clandestin voulant
régulariser sa situation.
Sois sans crainte
on ne te donnera pas de travail,
mais une carte qui te permettra d’avoir
tous les avantages d’un travailleur.
Le mieux, c’est de venir avec
tes Femmes et les enfants
car les allocations familiales sont plus
intéressantes,
elles te permettront de vivre sans rien faire.
Une seule de tes femmes
sera considérée comme légitime
et les autres seront inscrites
comme mères célibataires,
elles toucheront environ
1 500 euros par mois.
La seule chose à laquelle tu seras astreint,
sera d’aller t’enregistrer au chômage,
c’est long et ennuyeux, mais tu y retrouveras
plein de copains :
Hammed, Ali, Kefir, etc. .
Évidemment, il y a aussi des
étrangers comme des Martin,
des Dpont, des Dubois etc. .
qu’on est encore obligé de laisser passer
mais lorsque que
nous aurons pris le pouvoir,
il sera facile de créer des guichets
spécialement pour eux
afin de rester entre-nous.
Ils appellent ça des
accommodements raisonnables.
Comme tu sais, les Français
sont des infidèles,
ils vénèrent les Saints.
Le plus puissant d’entre eux
s’appelle le Saint Dika.
Il est bon, il est fort,
il est puissant et il aime les arabes,
c’est un bon Saint.
Si tu as oublié d’entrer travailler parce que
tu étais au Pub et qu’un infidèle de
Français te fait chier avec ça
ou que tu n’arrives pas à obtenir un
accommodement, tu vas voir ton Saint Dika
et le temps de le dire,
il l’obtient pour toi!
Nous espérons obtenir
bientôt le droit de vote.
Les gens du P.C. nous l’ont promis,
ils sont assez cons pour croire
qu’on voterait pour eux,
faut surtout pas les contrarier!
Mais comme on est
de plus en plus nombreux,
On finira par faire la Loi
et par créer une République Islamique.
Inch Allah !
À bientôt j’espère,
Ton frère Abdhul.
fous rires , rires , sourires ou rictus …. selon votre humour et votre humeur lol
Papy s’est fait faire une ordonnance de
Viagra par son médecin.
> Mais comme il connaît tout le monde
dans l’unique pharmacie du pays,
il a honte d’aller le chercher lui-même
et il dit à son petit-fils :
Si tu vas me chercher ce médicament,
je mettrai cinq euros sous ton oreiller
cette nuit!
Mais tu ne dis surtout pas
que c’est pour moi.
Le gosse fonce à la pharmacie
et ramène le Viagra.
Le lendemain matin, il regarde sous
son oreiller et trouve vingt euros !
Comme il est honnête,
il va voir son grand-père :
– Papy, tu t’es trompé.
Tu m’avais promis cinq euros
et tu en as mis vingt.
– Non, mon petit, je ne me suis pas trompé,
je t’ai bien donné cinq euros.
Les quinze autres, c’est Mamy !!!
Il paraît que les agents de la C.I.A
ont prié trois fois Allah avant
de jeter le corps de Ben Laden à la mer.
Allah une,
Allah deux
et Allah trois
Bon …. je me sauve , j’ai assez raconté de
bêtises pour ce soir
des contes de fées défaits ! âmes sensibles s’abstenir
Nous avons toujours aimé
les adorables personnages de
Disney.
Pendant des années
et encore maintenant,
ils nous ont fait pleurer, rire,
espérer, et servi de modèles.
Récemment,
Disney a accepté
de divulguer la vérité :
les personnages n’ont pas tous été
ces modèles de bonheur parfait
et de joie perpétuelle.
Voici, pour la première fois,
les destins RÉELS
des personnages de chez Disney :
MICKEY :
mort de maladie vénérienne
au contact des prostituées,
après avoir attendu
pendant 50 ans
que Minnie lui dise « oui ».
MINNIE :
cf Mickey.
DINGO :
assassiné pendant son
deuxième mandat
de Président des États-Unis.
PLUTO :
attrapé par la brigade canine ;
jamais réclamé,
il a été euthanasié.
PAT HIBULAIRE :
liquidé par la mafia russe.
DONALD :
servi laqué dans un restaurant
chinois d’Hollywood.
DAISY :
cueillie par une balle perdue
lors d’une fusillade.
GONTRAN BONHEUR :
a eu la chance de pouvoir attraper
à temps le Boeing 800
de la TWA en 1996.
ONCLE PICSOU:
mort dans la plus noire misère
après avoir subi le plus gros
redressement de toute l’histoire
du fisc américain,
suivi du crash de ses investissements
dans la nouvelle économie.
FLAIRSOU :
mort étouffé dans la piscine
de pièces de Picsou qu’il avait rachetée.
RIRI, FIFI & LOULOU :
inculpés dans une affaire
de pornographie pédophile en Belgique.
BLANCHE NEIGE :
s’est à nouveau faite avoir au vieux truc
de la pomme empoisonnée
(aux OGM cette fois).
LE PRINCE CHARMANT :
a fini la tête au bout d’une pique
lors de la révolution.
ATCHOUM :
mort de pneumonie.
GRINCHEUX :
mort sur la chaise électrique
pour avoir abattu quinze personnes
dans un MacDo.
JOYEUX :
tué par un déséquilibré
dans un MacDo.
DORMEUR :
ne s’est jamais réveillé.
SIMPLET :
a confondu pistolet et sucette.
MARY POPPINS :
abattue par un F16
dans l’espace aérien irakien.
WINNIE l’OURSON :
mort de crise cardiaque ;
a pulvérisé tous les records
mondiaux de taux de cholestérol.
ALICE (du Pays des Merveilles) :
a passé presque toute sa vie
dans un asile psychiatrique.
LE LAPIN PRESSÉ :
pressé, n’a pas fait attention au collet.
LA REINE DE CŒUR :
guillotinée lors de la révolution.
LE CHAPELIER FOU :
mort d’un empoisonnement
au mercure.
LE LIÈVRE :
noyé dans sa théière.
LA BELLE AU BOIS DORMANT :
réveillée en 1986,
est morte du sida
que le Prince Charmant lui avait refilé.
LE PRINCE CHARMANT :
a confondu dragon et char d’assaut.
CENDRILLON :
assassinée par sa marâtre
et ses demi-sœurs dans
un accès de jalousie.
LE PRINCE :
mort en exil après un coup d’État communiste.
PINOCCHIO :
devenu une armoire
normande de valeur.
GEPETO :
mort du tétanos
à cause d’une écharde dans le doigt.
JIMINY CRICKET :
tué dans un impact à grande vitesse
contre une vitre.
FIGARO :
tombé dans le bocal du poisson.
DUMBO :
a percuté un Boeing 747
en plein vol.
PETER PAN :
prostitué au bois de Boulogne,
mort d’une overdose.
CLOCHETTE :
a succombé aux avances trop
pressées d’une luciole mâle.
CROCHET :
attrapé par le crocodile.
LE CROCODILE TIC-TAC :
pulvérisé par la police lors
de Vigipirate à cause de son bruit.
BAMBI :
abattu par un membre de la
National Rifle Association
armé d’un AK-47 ;
le corps n’a jamais été retrouvé.
PANPAN :
engagé dans le déminage à Sarajevo,
a fait « pan » une fois de trop.
BERNARD & BIANCA :
disparus en 1996 lors
d’une mission en Belgique.
EVINRUDE :
bêtement gobée par un brochet.
BALOO :
sert à présent de descente de lit
dans un hôtel de luxe de New Delhi.
MOWGLI :