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Archives de 4 mars 2011

apres l’agriculture , le vin pas en vain j’espère

 

 

Aujourd’hui je vous emmène

pour une dégustation oenologique

 dans les caves de la politique

Le Ségolais nouveau  :

un léger goût de ramène sa Fraise,

 il a de la « cuisse » et du maillot rasé de frais.

Idéal pour servir un Kir « Royal » lors du

prochain match France-Hollande. 

Le Chiracolais nouveau :

il a de la bouteille et son goût de déjà vu se

 rapproche plus de celui du sapin que de celui

de la banane flambée.

 C’est imbuvable !

Tout juste bon pour mariner un ragoût de

« Villepin de garenne » sur un lit d’oseille. 

 

Le Sarkolais nouveau :

 un petit « vain » de table basse pétillant et

primesautier, avec des arômes de charter

 sans retour en fin de bouche

 (de Bush aussi, oui, merci !) 

 

Le Fabiusolais nouveau :

nouveau c’est beaucoup dire !

vieilli en fût dans les vignes

du « saigneur » mitterrand,

ses arômes de fruits secs sont

compatibles avec une mijotée

 de Faisans aux choux gras. 

 

Le Aubrynolais nouveau :

tout en rondeur et épais

comme du sidi brahim,

a sa place dans les Mosquées,

 les vignes envahissent la France,

Lille et Marseille ont un cru supérieur. 

 
Le Stroskanolais nouveau :

 long en « bouche » ( d’après Anne Sainclair),

 sa principale qualité réside dans le fait

qu’il ne reste jamais en Carafe. 

 

Le De Villepinolais nouveau :

un arrière goût de faux-cul de bouteille,

 à servir en priorité dans

 un dîner de cons pour accompagner

 un gratin de cornichons endimanchés. 

 

Le Besancenolais nouveau :

une piquette de facteur qui a

 quand même des « Lettres » de noblesse « 

et ne manque pas d’Enveloppe,

mais qui trouverait plus sa place

 dans les sacoches du vélo

que sur la table de la cantoche. 

 

 Le Lepénolais nouveau :

voilà une vendange tardive

 qu’il faut avoir à l’œil car il a plus

 d’un tonneau dans son sac

et peut tourner au

« vi-négre » à tout moment. 

 

Le Bayrounolais nouveau :

insipide et inodore,

 ce petit « trou du cru »

 va avec tout et avec tout le monde.

Pour trinquer aux enterrements

 de première classe seulement. 

 

Le Buffénolais nouveau :

c’est un vrai Rouge qui tache

 (et qui fait tâche).

 Ce cépage hors d’âge se récolte

à la faucille et peut vous rendre marteau.

 Un danger pour l’Humanité.

 A consommer avec modération

et avec les derniers Camarades

au gosier tout à l’egoût. 

 

Le De Villiérolais nouveau :

 c’est un coupage de

Sarko-Bayrouno-Lepéno-Stroskanolais

qui reste en travers du gosier.

« Cep » pas qu’il n’a pas de goût

mais il joue trop

 les vignes vierges effarouchées. 

 

L’Alliomarinolais nouveau :

des arômes de poudre à « canons »

en fin de bouche à feu,

 il a de la culotte (de peau),

c’est plutôt une boisson

de troupe en campagne.

A déguster au bivouac en treillis

Chanel et talons aiguille.

 
L’Arlétlaguillénolais nouveau :

encore une vieille vigne qui ne veut pas

s‘arracher. La récolte se fait toujours à

l’ancienne et à mobylette mais elle refuse

encore et encore de nous lâcher la grappe.

L’abus d’alcool est dangereux pour la santé

à consommer avec modération